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Les meilleurs conseils et astuces pour gagner au PMU 

1ère Technique : Profitez des bonus turf pour jouer gratuitement

Si vous ouvrez un compte sur un site de pari hippique, vous serez éligible à une offre de bienvenue.

En règle générale, le bonus prend la forme d’un pari remboursé jusqu’à une certaine somme (100€ dans la majorité des cas).

Grâce à ce bonus, vous pourrez donc jouer gratuitement. Cela vaut donc la peine de s'inscrire sur plusieurs sites afin de maximiser les abondements reçus.

Voici un rapide aperçu des principales offres de bienvenue proposées par les sites français :

  • PMU : votre 1er pari turf remboursé jusqu’à 100€
  • Unibet : 20€ remboursé en cash (retirable sans condition) sur votre 1er pari
  • Betclic : votre premier dépôt doublé jusqu'à 250€
  • ZEturf : 250€ de bonus au total, dont 60€ à l’activation définitive de votre compte
  • Genybet : 1er dépôt boosté de 25% jusqu’à 200 €

Les sites ont des offres de bienvenue différentes les unes des autres. Pour savoir laquelle vous conviendrait le mieux, allez consulter notre comparatif.

Découvrez le bonus de PMU turf

Les techniques pour gagner au PMU : Choisir les bonnes courses

Voici quelques règles simples pour miser si vous êtes débutant.

Pariez sur :

  • Les courses de galop sur plat avec plus de 8 chevaux au départ
  • Un cheval avec une cote de 5,00 ou plus
  • 1€ en Simple Gagnant + 2€ en Simple Placé (ou toute autre mises proportionnelles)
  • Faites une martingale si vous perdez votre prono
  • Pas plus de 5% de votre solde par pari (ou groupe de pari) sur un cheval

Toutes les règles sont expliquées ci-dessous. Reportez-vous aux différents points pour en savoir plus.

2ème Technique : Pariez sur les courses de plat au galop avec plus 8 partants

Au turf, il y a plusieurs types de courses : trot (attelé/monté), galop (plat, obstacles). Bien choisir sa course permet d’éliminer un certain nombre d’aléas. Si vous débutez,  ne misez que sur les courses de plat au galop.

En trot monté ou attelé, il n’est pas rare que des chevaux se mettent à galoper et se fassent donc éliminer. Par contre, au galop (allure de course naturelle), vous avez moins de chance que le cheval parte à la faute. Dans une course d’obstacles, la chute peut aussi très vite arriver.

Si vous avez un peu d’expérience, vous pouvez tenter de parier sur les courses de trot monté. Là aussi, évitez les courses attelées. Il y a trop d’incertitudes.

Misez sur des courses avec 8 partants minimum. Sur http://www.pmu.fr/turf, les paris simples placés sont payés si un cheval termine à l'une des 3 première places pour les courses avec plus de 8 partants. S’il y a 4 à 7 chevaux au départ, seules les 2 premières places sont payées.

En pariant sur des courses avec peu de partants, les cotes proposées seront trop basses par rapport au risque que vous prenez.

3ème Technique : Choisissez un cheval en fonction de son historique de gains et de la course

Plusieurs critères permettent de jauger la fiabilité d’un cheval sur une course donnée :

  • Jockey : certains jockeys sont réputés pour tirer le meilleur d’un cheval. C’est le cas de Christophe Soumillon, Stéphane Pasquier, Franck Nivard ou Jean-Michel Bazire. La qualité du cheval reste néanmoins déterminante, car le jockey ne peut pas faire de miracle.
  • Cheval en retard de gain : les chevaux accèdent aux différentes courses en fonction de leur âge et/ou de l’argent qu’ils ont engrangées sur les épreuves passées. Un bon cheval qui n’a pas couru depuis longtemps va accumuler un retard de gain. Il va donc se retrouver face à des chevaux moins bons qui ont gagné la même somme que lui au total. Il aura donc un avantage.
  • Tempérament du cheval : les chevaux qui ont l’habitude de faire la course sont plus fiables au niveau des résultats que ceux qui se contentent de suivre à la corde.
  • Lignes : déterminer les lignes consiste à comparer les performances de deux chevaux sur une course dont les paramètres sont les mêmes que celle sur laquelle ils sont engagés.
  • Handicap de poids éventuel : les meilleurs chevaux sont lestés afin de préserver le suspense. Cela aura un impact sur leur performance.
  • Terrain : l’état de la piste (grasse/sèche), la topographie (plat/pentue) et le sens de course (horaire/antihoraire) peuvent mieux convenir à certains chevaux. Pour savoir lesquels, il faut analyser les données des courses précédentes.
  • Œillères : elles permettent de canaliser un cheval. Cela peut donc être positif. Mais sachez qu’un cheval ayant besoin d’œillères est souvent peu fiable, en raison de sa nervosité excessive.
  • Position : en départ arrêté, les chevaux situés à la corde sont avantagés (ceux avec des numéros proches de 1). Si la couse est lancée à l’autostart, c’est ceux qui sont en première ligne qui ont un avantage.

Si vous êtes novices, vous ne saurez quoi faire de ces paramètres. Pour savoir dans quelle mesure ils peuvent influer sur le résultat, il faut des années d’expérience et une connaissance approfondie des courses hippiques.

Alors que faire ? N'en tenez pas compte dans un premier temps.

Comment savoir sur quels chevaux parier ?

Pour déterminer les chevaux qui peuvent faire l’arrivée, il n’y a pas de mystère : il faut se documenter.

Allez lire les revues et les sites spécialisés ou bien suivez les émissions dédiées au turf : « 3 minutes pronos » ou « Le grand debrief » sur PMU par exemple. Le site https://www.genybet.fr/ propose aussi une émission « 100% Quinté » qui vous donnera différentes infos sur le Quinté du jour.

Vous hésitez entre différents partants ? Voici un conseil imparable : misez toujours sur ceux dont le rapport est au moins égal à 5.

Prenons un exemple :

Vous misez 1 € en Simple Gagnant et 2 € en Simple Placé sur un cheval à une cote de 6,9. Au total, vous dépensez 3 €.

Si vous trouvez le cheval en placé, vous obtiendrez un tiers du rapport environ, soit 2 x 2,3 = 4,6 €. Si le cheval remporte la course, vous obtiendrez 6,9 € + 4,6 € = 11,5 €. Dans les 2 cas, vous aurez fait un bénéfice.

Attention : le rapport d’un cheval placé n’est pas forcément égal au tiers du rapport gagnant. Parfois, les 2 rapports peuvent être équivalents. Dans ce cas, si vous ne trouvez qu’un cheval placé, vous pourriez être légèrement déficitaire. La technique de couverture doit donc être envisagée dans une stratégie au long terme.

4ème Technique : Augmentez votre couverture via l’option Flexi de PMU

Trouver le gagnant d’une course n’a rien de facile. Pour avoir plus de chance de remporter un pari, il suffit d’augmenter sa couverture, c’est-à-dire miser sur plus de partants que le nombre minimum requis par le prono.

Si vous misez en Simple, choisissez plus d’un seul cheval. Vous aurez ainsi une plus grande probabilité de remporter votre pari.

Par contre, plus vous avez de combinaisons, plus le coût de votre mise augmentera. Pour garder votre budget sous contrôle, vous pouvez opter pour la formule Flexi proposée par http://www.pmu.fr/turf/ (si elle est disponible).

Avec le Flexi 50%, vous baisserez la mise unitaire de moitié. Le coût total de votre mise sera donc aussi divisé par 2. Par contre, en cas de gain, vous ne toucherez que la moitié sur rapport.

Pour améliorer votre couverture, vous pouvez aussi parier en champ. Cette technique s'adresse à des joueurs confirmés, mais donne de très bons résultats.

5ème Technique : la Martingale pour gagner au PMU + analyse des courses

La technique de la martingale est très connue à la roulette. Elle consiste à parier sur une couleur avec une mise dont le montant est censé couvrir les pertes que vous avez eues jusqu’à présent. C’est une technique attrayante sur le papier, mais qui fonctionne très mal en pratique, car il faut avoir un énorme bankroll pour arriver à tenir. Sans compter que les casinos limitent les mises.

Au turf, il est possible d’utiliser cette technique avec succès, car l’analyse des courses améliorera vos chances de gagner, tandis qu’à la roulette, c’est le hasard qui s’en charge. La martingale sera utilisée sur des segments (nombre de prises de jeu entre 2 paris perdants) plus courts, ce qui la rendra plus viable.

Comment fonctionne la martingale appliquée au turf ?

Le but de la martingale est de couvrir les pertes de chaque pari perdu en augmentant la mise du prono suivant. Et ce jusqu’à ce que vous gagniez. Toutefois, au turf, la progression du montant est plus lente qu’avec une martingale classique.

Cette technique devra être utilisée en conjonction avec la technique de couverture des mises que nous avons expliquée plus haut. Dans l’exemple que nous avons pris, nous avons choisi une mise en Simple Placé qui correspond au double de celle engagée en Simple Gagnant (SP = 2SG).

Voici la progression de la martingale :

  • 1erpari : 1€ en Simple Gagnant (1SG) et 2€ en Simple Placé (2SP)
  • 2epari : 1SG/2SP
  • 3epari : 2SG/4SP
  • 4epari : 4SG/8SP
  • 5epari : 6SG/12SP
  • 6epari : 8SG/16SP
  • 7epari : 12SG/24SP
  • 8epari : 18SG/36SP

Si vous êtes déficitaire, vous passez au palier suivant. Dans le cas contraire, vous revenez au premier palier.

Le principe de cette martingale est de couvrir avec un Simple Gagnant ou Placé les pertes des rangs précédents (et du rang actuel si votre Simple Placé est perdant).

Exemple de martingale avec un rapport réel

Voici un exemple de rapport de http://www.pmu.fr/turf pour un Simple Placé et Gagnant :

Gains pour les paris simples PMU

Vous jouez le n° 3 en Simple Gagnant (1€) et Placé (2€) pour le 1er pari. Vous perdez 3 €.

Ensuite, vous misez sur le n° 6 d’une autre course (pour des raisons de commodité, nous garderons le même rapport).

Si vous avez le cheval en placé, vous gagnerez 6,60€ pour une mise totale de 6€ (3€ de perte pour la course précédente et 3€ pour cette course). À la 2e course, vous êtes déjà bénéficiaire. Vous pouvez donc retourner au premier palier.

Dans le cas où vous pariez sur le 12 au 2e palier, alors vous remporterez 8,70€ + 6,60€ : 15,30€ pour une mise de 6€. Là aussi, vous serez bénéficiaire. Vous pourrez donc recommencer la martingale.

6ème Technique : Gestion de la bankroll : un impératif pour avoir du succès au PMU

Il s’agit du conseil le plus simple à mettre en œuvre. Pour chaque pari (ou groupe de paris portant sur un seul cheval), engagez 5% de votre solde au maximum. En turf, l’incertitude est beaucoup plus grande que sur le sport. La mise allouée à chaque prono doit donc être raisonnée.

Par exemple, pour la technique de la martingale que nous vous avons expliquée, vous allez engager 3€ par pari au maximum (pour le 1er palier). Cela présuppose que vous ayez au moins 60€ sur votre portefeuille de jeu.

Boostez vos chances de remporter vos paris PMU

Dernier conseil avant de se lancer

France Galop et Le Trot, qui organisent les courses hippiques en France, font tout leur possible pour que les épreuves réservent le plus de suspense possible.

En trot, les meilleurs chevaux doivent « rendre du temps », c’est-à-dire s’élancer d’une ligne plus en arrière des autres concurrents et donc couvrir une distance plus importante. Au galop, les chevaux les plus performants débuteront avec une selle plombée.

Pour les joueurs, ce système de handicap rend les choses plus compliquées, mais pas forcément rédhibitoires. Il faudra être un peu plus prudent dans la gestion de sa bankroll.

Deuxièmement : pour gagner aux courses sur http://www.pmu.fr/turf, vous devez penser à long terme. Les techniques évoquées ci-dessous vous permettront d'avoir un bilan positif. Cela ne veut pas dire que vous allez l’emporter sur toutes les courses. Toutefois, avec une bonne couverture, une bonne analyse et une gestion des mises rigoureuses, vous serez bénéficiaires.

Enfin, les conseils qui se trouvent dans cet article présupposent que vous êtes un novice. Il s’agit d’un fil d’Ariane dont vous pourrez vous éloigner à mesure que votre connaissance des courses hippiques s’affinera.